Tranches de vie

La section PS de Narbonne communique
Tranches de vie
Notre direction parisienne est-elle tombée sur la tronche ?
Comment peut-elle joindre ses voies et ses cris d'Orfraie à l'encontre de notre Président de région à celles de la droite ?
Résultat d'un sondage sur le site du Midi Libre le 29/01 à 19h00
Qui peut penser un instant que celui qui était taxé de pro israéliens et de pro sionistes hier, ait eu le début de commencement d’un relent antisémite aujourd'hui ?
Quelle ville de France ou quelle région peut se targuer d'avoir fait plus que Georges Frèche pour sa communauté Harkis ?
Martine, Jack ou Arnaud, votre quête du politiquement correct confine à l'absurde et ne peut que nous desservir.
A travers l'hallali sonné contre notre Président, vous insultez la majorité écrasante de militants socialistes qui auraient jeté leur dévolu sans discernement, pour un homme dont le républicanisme est insoupçonnable.
La méthode coué(derc), laissons la à nos vrais adversaires : l'UMP.

(*) Déclaration de Charles Pasqua en 1988
et mise en pratique par la droite régionale
Des adversaires dont le passé ne plaide pas pour eux en matière de xénophobie et de racisme, n'ayons pas peur de le rappeler à travers ces quelques "tranches de vie" de la droite Française :
- C'est Jacques Chirac à Orléans qui a donné le "la" du dépucelage de la droite complexée avec son odieux discours sur « les bruits et les odeurs » de nos émigrés.
- C'est Raymond Barre, quelques années auparavant alors qu’il était Premier Ministre qui, en 1981, après l'attentat de la rue Copernic déclare : « Cet attentat odieux qui voulait frapper les juifs se trouvant dans cette synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic ». En 2007, trois jours après la mort de l'ignoble Maurice Papon, il prend sa défense en déclarant qu'il ne serait qu'un « bouc émissaire » et qu'il était « un grand commis de l'Etat ... »
- Qui a oublié les déclarations de Charles Pasqua pendant la campagne Présidentielle de 1988 : « Sur l'essentiel, le Front national se réclame des mêmes préoccupations, des mêmes valeurs que la majorité. »
- Cet été c'est Brice Hortefeux qui stigmatise toute la communauté Maghrébine en déclarant; « Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes ».
- En 1986 et 1998 ce sont les amis de M. Couderc qui ont définitivement perdu leur âme en faisant allégeance et alliance avec le FN pour gouverner notre région.
Ne doutons pas un instant que cette nouvelle épreuve infligée à toutes les femmes et hommes de gauche qui se reconnaissent dans le projet porté par Georges Frèche et Didier Codorniou, va conforter notre conviction du bon choix que nous avons fait.
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